Un nouveau rapport pointe le fossé entre la rhétorique politique des gouvernements et leurs actions.

En mai dernier, le Conseil européen s’était engagé à s’attaquer à la fraude et l’évasion fiscales avec des mesures de transparence et de lutte contre le blanchiment d’argent, mais aucun des gouvernements interrogés n’exige des entreprises un niveau suffisant de transparence fiscale ou n’a pour l’instant mis en œuvre un système d’informations financières pays par pays pour les entreprises multinationales, deux mesures indispensables à la lutte contre les flux illicites de capitaux.

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